“Je suis de retour! Pour vous jouer un mauvais tour! Avec une fic humoristique sur Harry Potter... Shonen-Ai au rendez-vous!” - dimanche 20 janvier 2019 19:44
Si je devais faire un plan de l'endroit exacte où j'étais, je pense que personne n'aurais compris. Même moi, sur place, j'étais perdu. Imaginez plein de maison, ou des immeuble pas trop grande, avec des toits plats. Plusieurs cheminée sur une même batisse, comme avant, et moi au millieu d'eux. Quelque toit plus loin, une rue, et, de l'autre côté, un hôpital. Je suis consciente que personne n'a la même perspective d'une ville, mais je pense que vous avez, avec mes indications, une bonne base.
Les vitres de l'hôptal sont pratiquement noires, et on voit à grand peine Jubia courir, à partir du deuxième étage, pour sauver son amour non-réciproque. Étoufant Lector, je peine à respirer, la peur m'étreignant la gorge trop fortement à mon goût. Les grognements n'avaient pas repris depuis mon réveil. Bien sûr, les morts en bas gesticulaient ou bavaient, mais ils ne sont pas assez proche. Il n'y a qu'une seule façcon d'arriver a mon toit, et c'est d'être sur celui d'a côté. Pareil pour l'hôpital, enfin, si on élimine la passerelle le reliant aux bâtiments devant moi. Disons que par-dessu la rue, il y a une sorte de pont. Ce n'est pas commun, mais au tout début de l'épidemmie, c'est ainsi que les infermiers rentraient, pour éviter que des innoçant ne contracte le virus. Enfin. L'éboulement avait créé une sorte de brèche entre le 2e et le 3e étage, où les morts commençaient peu à peu à envahir. Comme un escalier. Seulement le trou au milieu du plancher. Ho, il y a bien quelque dégats mineur, mais rien de grave. Sauf une barricade solide, mais qui ne résisterait pas au poid des infectés. Par contre, elle résiste à de simple humain. Derrière, Natsu et Sting, tentant de passer au travers. Devant, Grey. Et loin, même pas dans le couloir, Jubia, courrant pour aider son amour. Puis moi, à-demi cacher par les cheminées. Mais ça, vous le savez déjà. L'inconnu suspecte c'était écroulé, et on ne voit plus qu'un masse sombre à travers la vitre. J'ignore ce que c'était. Pas un mort, ils n'ont pas assez de conscience. Mais ça m'intrigue. Cette personne semblait trop endommagé pour tenir debout. Par ailleur, le fais qu'aucun infecté ne le touche, même s'il est probablement mort, me surprend. Je méditais sur la question, les yeux rivé sur le petit Lector, quand les gémissements s'intensifièrent. En regardant en bas, je vu un attroupement qui tentait par tout les moyens de monter. Heureusement, même avec autant de membres de leurs secte, ils ne pouvaient y arriver. Un cri venant de l'hôpital me fit sursauter. Jubia. Natsu tentant de l'arrêter, elle voulait de passer à travers du mur improviser et faire entendre raison le jeune aux prises des morts debout. Mais peine perdu. La silhouette de Sting s'éloigna, tendis que les trois autres ne bougeaient pas trop. Pourtant la bleue n'arrêta pas sa crise, et, bien le mur muserait au moins 3 mètres, elle se libéra de la prise du rose pour monter sur l'obstacle.
-M.Grey ne mourra pas, Jubia vient le sauver!
-Idiote, tu peux rien faire! DÉGAGE!
Les bruits étouffer des sanglots de Jubia ne me parvenaient pas très bien a travwers le walkie-talkie, mais je pouvai très bien l'imaginer, les larmes coullant sur ses joues. De ce que je voyais, elle avait lâcher le rose et elle était tombé à genou. J'imagine que c'est ce qu'on ressent en étant rejeter sans cesse...surtout de cette façon, quand on tente de sauver l'être aimé. Enfin, ça n'allait pas aider ce cher Grey. Je pensais les suivre et sauver le jeune homme, mais Sting revint soudain, en tenant je ne sais quoi dans ses bras.
-Une pelle? Un marteau? Un pied-de-biche?
-Je me suis dit qu'on pourrait au moins essayer de creuser a travers les débris...
-Suuuper. Comme si cela allait aider mon M.Grey!
-Tais-toi et pelte.
Sans un autre mot, Sting lança la pelle a la bleue, tandis le pied de biche a Natsu et se dirigea vers le mur avec le marteau. À travers le walkie-talkie que la bleue m'avait laisser, j'entendais leurs coups résonner et des décombres tomber. Mais à travers la vitre...rien. Arrivaient-ils vraiment à auter les débris? Enfin, ici, à ne rien faire, j'ai l'impression d'être à moitier aveugle et de regarder un film d'horreur les oreilles bouchées!
-Putain de merde!
Les morts commencaient a monter. Dans un excès de panique, je hurlais sans rien faire d'autre qu'agresser sans le vouloir Lector, avant de penser à les avertir.
-Jubia!
-Ce n'est pas le mom...
-Ils sont en train de monter, vous devez accélerer!
Pas un mot, mais un énorme cri traversa la gorge de la bleue qui, je n'en doute absolument pas, redoubla l'allure et força les autres par la même occasion à l'imiter.Je vis des débris projeter avec force un peu partout et n'importe comment, sans plus d'attention, quand Jubia, qui, visiblement, ne savais absolument PAS se servir d'une simple pelle, frappa la vitre avec force, la faisant éclater violament. Des éclats revolèrent un peu partout, comme des cristaux. Sting s'en prit un dns la main, ce qui le ralentot, mais il n'arrêta pas. Sinon, 'est Jubia qui le tuerais. Maintenant que la moitié de la fenêtre à été briser, il est beaucoup plus aisé d'y voir à l'intérieur. Même si la lumière ne marchait plus, et que leur lampe torche était tombé dans le moment de peur et que l'obscurité règne, j'y vois assez bien.
Par contre, les éclats de verres de cette fenêtres on revoler plus loin, sur les fenêtres du 2e étage plus précisément. Directement à côté de la montagne de morts qui gravissent lentemet mais sûrement les gravats. L'individu ayant tiré est toujours par terre. Et quand la pyramide de zombie s'agrandit trop sur les bords, des corps dégringolent par l'ouverture, et ils tombent beaucoup plus bas, dans la rue, pour rejoindre l'autre tas de morts, celui autour de mon abris temporaire. En me penchant, je remarque que certain des infectés ne tiennent plus sur deux jambes après cette chute, et qu'ils se trainnent aussi vite que possible avec leurs bras. Et d'autre, plus vieux, n'ont plus que la partie du haut. Quelle horreur!
Cette observation donne le temps aux gars et à Jubia de libéré un trou assez grand pour faire passez un humain.
-M.Grey doit passer IMMÉDIATEMENT!
-Merci mon dieu, je vais pas finir comme eux! Ou pire, complètement bouffé...
Grey couru au trou et se tortilla pour passer, tandis que les premiers morts s'avançaient vers lui avec agitation, croyant avoir enfin de quoi manger. Il parvint à s'extirper du trou à la dernière seconde, et les autres s'empressairent de reboucher la brèche aussi vite que possible. Oui! Le sac contenant le nécéssaire à premier soin version plus améliorer sur l'épaule, il guida les autres comme si de rien n'était vers la passerelle nous reliant. Enfin soulagé, sans peur, je me détendi et flatta Lector d'un geste doux. Mais quelque chose semblait différent. Les grognements en bas, dans la rue, semblait s'être raproché. Étais-ce possible qu'ils aient trouvé un moyen de monter? Non, ils n'étaient pas assez intelligents pour faire une telle chose. Je déposais Lector sur le sol et me trainais vers le côté de la bâtisse. Rien. Enfin, les grogneurs en bas, mais ils n'ont pas bougé. J'allais retirer ma tête d'au dessu du vide, quand un gémissements sourd résonna tout près de moi. En dessous. Captant mon attention, je me penchais un peu plus, en prenant beaucoup plus de risque que nécéssaire, pour satisfaire ma curiosité. Mauvaise idée.
-GRRRAAAAAHHHRWWW!
Un main au long ongles noirs et à la peau dévorer surgit d'une fenêtre, cassant la vitre et me faisant sursauter et basculer vers l'avant. Prise de panique, je m'accrochais au bord en criant, tout en me tuant à remonter mon corps par dessu le mur. Ma jambe blessé, elle, en disait autrement. En regardant sous moi, je m'aperçu qu'il n'y avait plus juste un main, mais aussi la tête d'un vieu infecté, genre début de l'épidemie, ce qui est plutôt rare, car ils ne se conservent pas très bien. Le mort gesticulait tant qu'il attira les autres, bien en dessous, qui s'agitaire. Merde. J'avais à peine 10 centimètres d'espace empêchant le zombi de m'atteindre, mais si personne ne venait me chercher, je risquais de finir dans sa gueule. Je tentais encore une fois de me remonter, et j'hurlais ux autres de se dépêcher, mais ils ne semblaient pas trop pressé. Ma main gauche lâcha. Incapable de la remonter, j'essaya donc de trouver un endroit où je pourrais attendre de l'aide un certain temps. Mes doigts glissairent. De justesse, je me rattrapais. 7 centimètres du monstres. Bon dieu, viens me sauver!
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